Voyage DZ
  • Chaussures Sahara
  • Artisanat algérien
  • Hébergement désert
  • Visite Sahara
novembre, 9 2025
Qu'est-ce qui est illégal en Algérie ? Ce qu'il faut éviter pour ne pas avoir de problèmes

Vous préparez un voyage en Algérie ? Vous avez déjà entendu parler de ses paysages époustouflants, de son accueil chaleureux et de sa riche histoire. Mais avant de poser vos valises, il y a une question cruciale : qu’est-ce qui est illégal en Algérie ? Parce que ce n’est pas parce qu’une action est tolérée chez vous qu’elle l’est ici. Et dans certains cas, les conséquences peuvent être bien plus graves qu’une simple amende.

En Algérie, les lois sont profondément ancrées dans la culture, la religion et l’histoire du pays. Ce n’est pas une simple question de respect des règles - c’est une question de sensibilité. Même les gestes les plus anodins peuvent être mal interprétés, voire considérés comme une offense. Voici ce que vous devez absolument savoir avant de voyager.

La consommation d’alcool est strictement réglementée

En Algérie, l’alcool n’est pas interdit partout, mais il est fortement contrôlé. Vous ne trouverez pas de bars ou de bistrots comme en France ou en Italie. La vente d’alcool est réservée à certains établissements autorisés : hôtels de luxe, grandes surfaces dans les grandes villes, et points de vente spécifiques. Même dans ces endroits, les horaires sont limités - souvent de 10h à 18h, et jamais le vendredi ou pendant le ramadan.

Si vous achetez de l’alcool, gardez votre reçu. La police peut demander à voir votre preuve d’achat. Transporter de l’alcool dans les rues, surtout en public, est interdit. Vous risquez une amende, la saisie de vos boissons, et parfois même une arrestation si vous êtes perçu comme un trouble-fête.

Les étrangers pensent souvent que « puisque je suis touriste, je peux faire ce que je veux ». Ce n’est pas vrai ici. En 2024, un couple français a été arrêté à Oran pour avoir bu une bière sur une plage publique. Ils ont passé deux jours en garde à vue avant d’être expulsés.

Les relations publiques entre personnes de sexes différents sont surveillées

En Algérie, les gestes d’affection en public sont interdits - et pas seulement les baisers. Même tenir la main, s’embrasser sur la joue, ou s’asseoir trop près sur un banc peut attirer l’attention. Ce n’est pas une loi écrite dans un code pénal, mais une norme sociale très forte, soutenue par les autorités locales.

Les couples hétérosexuels peuvent être interrogés par la police s’ils sont perçus comme « trop proches ». Les couples homosexuels courent un risque encore plus grand : les relations entre personnes du même sexe sont expressément interdites par l’article 333 du code pénal. La peine peut aller jusqu’à deux ans de prison et une amende de 10 000 à 20 000 dinars algériens (environ 70 à 140 €).

Les touristes LGBTQ+ doivent être particulièrement prudents. Même en milieu touristique, il est recommandé d’éviter toute manifestation publique d’identité ou d’affection. Les hôtels ne vous arrêteront pas, mais les voisins ou les passants peuvent signaler ce qu’ils voient.

Le port de vêtements dévoilant le corps est mal vu dans certains endroits

À Alger, Oran ou Constantine, vous verrez des femmes en jean et T-shirt - et des hommes en short. Mais dans les régions plus conservatrices, comme les montagnes du Kabylie ou les zones rurales du Sud, les règles changent.

Porter des shorts courts, des débardeurs, ou des robes très courtes peut attirer des regards hostiles, voire des remarques agressives. Dans les mosquées, les lieux sacrés et les marchés traditionnels, les femmes doivent couvrir leurs épaules et leurs genoux. Même les touristes sont attendus à respecter cette règle. Il n’y a pas de police pour vous arrêter, mais vous pourriez vous faire demander de partir, ou même être insulté.

Une Française a été expulsée d’un marché à Tlemcen en 2023 pour avoir porté un débardeur sans manches. Elle n’avait rien fait d’autre. Le vendeur a appelé la police, qui l’a accompagnée à l’hôtel pour lui demander de changer de vêtements.

Un touriste hésite à photographier un poste militaire en plein désert algérien, surveillé par un soldat.

La prise de photos est un piège pour les voyageurs

Prendre des photos en Algérie semble anodin. Mais ce n’est pas le cas partout. Interdiction formelle de photographier :

  • Les installations militaires - même un poste de garde à la sortie d’une ville
  • Les bâtiments gouvernementaux - les préfectures, les tribunaux, les bureaux de police
  • Les ports, les aéroports, les stations de métro
  • Les personnes sans leur consentement - surtout les femmes, les enfants, et les personnes âgées

En 2024, un touriste belge a été arrêté à Tamanrasset pour avoir pris une photo d’un camion militaire garé près d’un hôtel. Il a passé 18 heures en détention. Son appareil photo a été confisqué. Il a été libéré après avoir signé un document d’excuse et promis de ne plus photographier.

Si vous voulez photographier une personne, demandez toujours. Ne prenez pas de photos en cachette. Même si la personne sourit, elle peut ensuite déclarer qu’elle n’a pas donné son accord. La loi algérienne protège la vie privée plus strictement qu’on ne le pense.

Le commerce de certains objets est interdit

Ne tentez pas d’acheter ou de rapporter de l’Algérie :

  • Des objets archéologiques - même une petite pièce de monnaie ou un fragment de poterie
  • Des animaux ou plantes protégés - comme le lézard géant du Sahara ou certaines espèces de cactus
  • Des livres ou médias considérés comme « immoraux » - certains romans, films ou documents sur la guerre d’indépendance

Les douanes algériennes contrôlent très strictement les sorties de biens culturels. Même si un vendeur vous dit « c’est normal, tout le monde le fait », c’est une erreur. En 2025, une touriste canadienne a été arrêtée à l’aéroport d’Alger avec deux poteries anciennes dans sa valise. Elle a été condamnée à une amende de 50 000 DA (environ 350 €) et a dû payer 1 000 € pour les frais de procédure.

Les souvenirs classiques - tapis, bijoux, épices - sont autorisés. Mais si vous achetez un objet ancien, demandez un certificat d’authenticité. Sans lui, vous risquez des ennuis à votre retour.

La critique du gouvernement ou de l’armée peut être dangereuse

En Algérie, la liberté d’expression existe, mais avec des limites très claires. Critiquer le président, l’armée, ou les institutions de l’État en public - même en plaisantant - peut vous valoir des ennuis. Les réseaux sociaux sont surveillés. Des étrangers ont été interrogés pour des publications sur Facebook ou Instagram.

En 2024, un étudiant allemand a été convoqué par la police après avoir posté une photo d’un bâtiment gouvernemental avec la légende : « C’est ça, la « démocratie » algérienne ? » Il n’a pas été arrêté, mais il a été obligé de supprimer le post, de signer une déclaration, et de quitter le pays sous 72 heures.

Les journalistes étrangers doivent avoir une autorisation spéciale pour travailler. Même les blogueurs voyageurs qui publient des critiques sur les conditions de vie ou la corruption risquent d’être ciblés.

Une femme couvre ses épaules et ses genoux en marchant dans un marché traditionnel en Algérie.

Le trafic de drogue : une peine de prison à vie

Les lois algériennes sur la drogue sont parmi les plus sévères au monde. Même une petite quantité de cannabis peut entraîner une peine de 10 à 20 ans de prison. La possession de cocaïne, d’héroïne ou de méthamphétamine est passible de la peine de mort - même pour les étrangers.

En 2023, un couple britannique a été arrêté à Ghardaïa avec 3 grammes de cannabis dans leur sac à dos. Ils ont passé 14 mois en prison avant d’être expulsés. Leur procès a duré 11 mois. Aucune clémence n’a été accordée.

Ne confondez pas la tolérance avec la légalité. Le cannabis est courant dans certaines zones rurales, mais cela ne veut pas dire qu’il est légal. Les touristes ne sont jamais exemptés.

Les règles du ramadan : pas de nourriture en public

Le ramadan est un moment sacré en Algérie. Pendant ce mois, les musulmans jeûnent de l’aube au coucher du soleil. Manger, boire ou fumer en public pendant cette période est interdit - même pour les non-musulmans.

Les restaurants ouvrent après le coucher du soleil. Les hôtels peuvent vous servir à l’intérieur, mais pas sur les terrasses. Si vous mangez une pomme sur le trottoir à Alger pendant le ramadan, vous risquez d’être insulté, voire signalé à la police. Les autorités locales peuvent vous demander de vous asseoir dans un endroit privé.

Les touristes qui ignorent cette règle sont souvent mal perçus, même s’ils ne le font pas intentionnellement. Il est préférable de respecter cette tradition - c’est une question de respect, pas seulement de loi.

Les règles à retenir avant de voyager

Voici un résumé simple de ce qu’il faut éviter en Algérie :

  • Ne buvez pas d’alcool en public
  • Ne montrez pas d’affection en public
  • Ne photographiez pas les bâtiments militaires ou gouvernementaux
  • Ne prenez pas de photos de personnes sans leur accord
  • Ne portez pas de vêtements trop courts dans les zones rurales ou religieuses
  • Ne transportez pas d’objets anciens sans certificat
  • Ne critiquez pas le gouvernement en ligne ou en public
  • Ne transportez aucune drogue - même du cannabis
  • Ne mangez ni ne buvez en public pendant le ramadan

En Algérie, la loi n’est pas toujours écrite dans les livres - elle est dans les coutumes. Ce n’est pas un pays où les touristes sont « autorisés » à faire ce qu’ils veulent. C’est un pays où les visiteurs sont invités à respecter les règles locales, même si elles sont différentes des leurs.

Si vous respectez ces règles, vous vivrez une expérience riche, authentique et sans stress. L’Algérie vous ouvrira ses portes - mais seulement si vous montrez que vous la respectez.

Est-ce que les femmes doivent porter un voile en Algérie ?

Non, les femmes ne sont pas obligées de porter un voile en Algérie. La majorité des femmes dans les villes portent des vêtements modernes. Mais dans les zones rurales ou religieuses, beaucoup choisissent de le faire. En tant que touriste, vous n’êtes pas obligée de porter un voile, mais il est recommandé de couvrir vos épaules et vos genoux pour éviter les regards hostiles.

Puis-je utiliser mon téléphone portable en Algérie ?

Oui, mais votre forfait international doit être activé. Les réseaux locaux (Djezzy, Ooredoo, Mobilis) fonctionnent bien dans les villes. Dans le Sud, la couverture peut être limitée. Il est conseillé de désactiver les données roaming pour éviter les frais élevés. Vous pouvez aussi acheter une carte SIM locale à l’aéroport.

Est-ce que les cartes de crédit sont acceptées en Algérie ?

Dans les grandes villes, certaines boutiques et hôtels acceptent les cartes, mais ce n’est pas courant. La plupart des commerçants, marchés et restaurants ne prennent que le cash. Il est essentiel d’avoir des dinars algériens sur vous. Les distributeurs sont rares en dehors des villes. Prévoyez suffisamment d’argent liquide.

Puis-je apporter des médicaments en Algérie ?

Oui, mais seulement si vous avez une ordonnance originale et que les médicaments ne sont pas contrôlés. Certains analgésiques, somnifères ou antidépresseurs sont classés comme substances dangereuses en Algérie. Vérifiez la liste officielle avant de voyager. Gardez vos médicaments dans leur emballage d’origine.

Quelle est la meilleure période pour voyager en Algérie ?

La meilleure période est d’octobre à avril, quand les températures sont douces. En été, la chaleur dans le Sud peut dépasser 50 °C. Évitez le ramadan si vous voulez profiter de tous les services - certains restaurants et commerces ferment pendant la journée. Le printemps est idéal pour visiter les montagnes et les oasis.

Étiquettes: interdits en Algérie lois algériennes ce qui est illégal voyage en Algérie règles locales Algérie

14 Commentaires

  • Image placeholder

    Lucile Dubé

    novembre 10, 2025 AT 07:31

    Je sais pas vous mais j’ai vu un gars se faire arrêter pour une bière sur une plage… c’est fou quoi.

  • Image placeholder

    Magaly Guardado-Marti

    novembre 12, 2025 AT 02:16

    En tant que Française qui a vécu à Alger pendant deux ans, je peux vous dire que les règles ne sont pas écrites partout, mais elles sont gravées dans les têtes. Si vous respectez les gens, ils vous respectent. Pas besoin de loi pour ça. Portez des vêtements modérés, évitez les gestes d’affection, et surtout, ne prenez pas de photos comme si vous étiez dans un musée. L’Algérie n’est pas un décor, c’est une vie.


    La femme expulsée de Tlemcen ? Elle a eu de la chance. J’ai vu une touriste se faire insulter pendant 20 minutes pour un débardeur. Personne ne l’a touchée, mais l’humiliation, elle, elle reste. Respect, c’est pas une option, c’est un passeport.


    Et pour ceux qui disent « mais c’est du fascisme » : non, c’est du vivre-ensemble. Vous ne rentrez pas chez quelqu’un en chaussettes et en maillot de bain, alors pourquoi dans un pays qui a une culture profondément ancrée ?


    Le ramadan ? Même pas la peine de discuter. Si vous avez faim, allez dans un hôtel. C’est pas compliqué. Et si vous trouvez ça injuste, allez en Arabie Saoudite, vous verrez ce que c’est de vraiment être surveillé.


    Les photos des militaires ? Oui, c’est dangereux. Vous croyez que c’est pour vous embêter ? Non. C’est parce que des gens ont été tués pour des photos mal prises. Ce n’est pas de la parano, c’est de la survie.


    Et pour les LGBTQ+ : je ne vous juge pas, mais je vous dis : soyez invisibles. Pas par haine, mais par prudence. L’Algérie n’est pas la France. Et ce n’est pas une insulte, c’est une vérité.

  • Image placeholder

    Rene Pérez Vázquez

    novembre 12, 2025 AT 11:16

    Il est fascinant de constater que l’Algérie, pays post-colonial qui s’est construit sur la révolte contre l’assimilation culturelle, impose aujourd’hui une forme de conformisme moral qui, ironiquement, ressemble à une néo-colonisation de la subjectivité occidentale. En d’autres termes : vous venez ici en touriste, vous pensez que la liberté individuelle est universelle, alors que la société algérienne, elle, a choisi de préserver son intégrité culturelle contre l’impérialisme culturel du tourisme globalisé - ce qui, en soi, est une forme de résistance postcoloniale légitime. Mais non, bien sûr, vous trouvez ça « oppressif » parce que votre ego occidental ne supporte pas d’être contraint par des normes qui ne sont pas les vôtres. Et pourtant, si vous vous rendiez à Kyoto, vous ne vous mettriez pas en short dans un sanctuaire shinto, n’est-ce pas ? Alors pourquoi ici, c’est « discrimination » ? C’est simplement du relativisme culturel mal compris.

  • Image placeholder

    Alexis Vanmeter

    novembre 12, 2025 AT 19:53

    Respect = pas de problème. Point. 😊

  • Image placeholder

    Mégane Verbeeck

    novembre 12, 2025 AT 23:26

    Alors là, je vais être honnête : tout ça, c’est du fascisme moral !!!! Pourquoi je dois me couvrir les genoux parce qu’un vieux dans un marché a des idées archaïques ???? Pourquoi je dois me taire parce que vous avez peur des critiques ???? C’est la liberté d’expression ou la censure ???? J’espère que vous comprenez que vous êtes en train de légitimer un régime de terreur !!!!

  • Image placeholder

    Marcelle Williams

    novembre 13, 2025 AT 11:17

    Oh là là, quelles conneries ! Vous avez vu le titre ? « Ce qu’il faut éviter pour ne pas avoir de problèmes » - mais c’est pas un guide, c’est un manuel de soumission ! On est en 2025, pas en 1955 ! Si vous voulez qu’on respecte vos règles, commencez par respecter les nôtres. Et puis, qui vous a dit que les Algériens n’ont pas le droit d’aimer en public ? Vous êtes en train de transformer un pays en musée vivant pour touristes effrayés.


    Et le cannabis ? Vous avez vu les prix sur le marché noir ? C’est plus cher que du champagne ! Et vous vous étonnez que les jeunes en prennent ? Ce n’est pas un crime, c’est un échec politique. Mais non, mieux vaut enfermer les touristes que de réformer les lois.


    Je trouve ça honteux. Et vous ?

  • Image placeholder

    James Funk

    novembre 15, 2025 AT 01:44

    Je vous dis tout de suite : c’est un piège. Tout ça, c’est une couverture pour la surveillance de masse. Les militaires, les polices, les vendeurs qui signalent les gens… c’est le régime qui veut contrôler chaque geste. Vous croyez que c’est pour la culture ? Non. C’est pour effrayer les étrangers, les dissuader de parler. Et les photos ? Bien sûr qu’ils interdisent les photos. Parce qu’ils ont peur qu’on voie la vérité. Et le ramadan ? C’est une excuse pour imposer la religion d’État. Vous êtes un touriste ? Vous êtes un espion potentiel. Voilà la vraie règle.

  • Image placeholder

    Beau Graves

    novembre 15, 2025 AT 18:04

    Je suis allé en Algérie l’année dernière, et j’ai été étonné par la chaleur des gens. J’ai respecté les règles - pas parce que j’avais peur, mais parce que c’était juste. J’ai mangé en privé pendant le ramadan, j’ai évité les photos des bâtiments, j’ai porté des vêtements longs dans les villages. Et devinez quoi ? Les gens m’ont invité à boire le thé, m’ont montré leurs maisons, m’ont raconté leur histoire. C’est pas une question de peur. C’est une question d’ouverture. Respecter, c’est pas perdre sa liberté, c’est gagner de la dignité.

  • Image placeholder

    Emeline Lavalle

    novembre 17, 2025 AT 08:08

    Je pense qu’il faut juste écouter. Pas juger. Pas réagir. Juste observer. L’Algérie, c’est un peu comme une maison où les murs ont des souvenirs. Vous ne rentrez pas en hurlant, vous entrez doucement. Et si vous faites attention, vous découvrez que les règles, c’est pas des chaînes - c’est des signes de bienvenue. J’ai vu des Algériens sourire à une touriste en jean, mais avec un châle sur les épaules. Pas parce qu’ils l’ont forcée, mais parce qu’elle a choisi de faire un geste. Et ça, c’est plus fort que n’importe quelle loi.

  • Image placeholder

    Nadine McGee

    novembre 18, 2025 AT 20:45
    Je trouve ça marrant que tout le monde parle de culture comme si c’était une religion alors que la plupart des Algériens sont des gens normaux qui veulent juste vivre en paix et que les touristes viennent avec leurs préjugés et pensent qu’ils sont plus libres alors que dans leur pays ils sont en train de se faire manipuler par les médias et les politiciens et personne ne dit rien mais là c’est la fin du monde parce qu’on ne peut pas boire une bière en public et je trouve ça triste et je vais aller en Algérie juste pour voir si c’est vrai ou si c’est juste une histoire pour faire peur aux gens
  • Image placeholder

    Romain Grima

    novembre 20, 2025 AT 11:49

    Allez-y, allez en Algérie ! Faites attention, mais allez-y ! C’est un pays magnifique, les gens sont incroyables, et si vous êtes respectueux, vous allez vivre quelque chose d’unique. Je vous jure, ça vaut le coup. La vie est trop courte pour rester chez soi par peur. Allez, prenez votre sac, mettez un châle dans votre valise, et partez !

  • Image placeholder

    Yacine Merzouk

    novembre 21, 2025 AT 15:00

    Le contrôle social est la nouvelle forme de néocolonialisme. Les lois sur l’alcool, la photo, les vêtements - c’est un système de surveillance par la norme. L’État algérien ne peut pas contrôler les idées, alors il contrôle les corps. Et vous, touristes, vous êtes les cobayes. Vous êtes les preuves vivantes que la culture peut être instrumentalisée pour maintenir l’ordre. Ce n’est pas du respect. C’est du contrôle. Et vous, vous le payez en silence.

  • Image placeholder

    George Alain Garot

    novembre 23, 2025 AT 01:59

    Permettez-moi de vous rappeler que la France elle-même a interdit le voile dans les écoles en 2004 au nom de la laïcité. Alors pourquoi serait-ce différent ici ? Vous venez ici avec votre arrogance occidentale, vous jugez les coutumes comme si vous étiez les gardiens de la vérité morale. Mais la vérité, c’est que vous n’avez pas le droit de juger. Vous êtes un visiteur. Pas un missionnaire. Et si vous ne comprenez pas ça, retournez chez vous. L’Algérie n’a pas besoin de votre « liberté » - elle a besoin de votre humilité.

  • Image placeholder

    Yann Cadoret

    novembre 23, 2025 AT 12:39

    La loi sur l’alcool est claire. La loi sur les photos est claire. La loi sur les relations publiques est claire. La loi sur la drogue est claire. Il n’y a pas de mystère. Ce n’est pas une question de culture. C’est une question de droit. Et si vous ne respectez pas le droit, vous assumez les conséquences. Point. Pas de débat. Pas de victimisation. Juste des règles. Et les règles, on les suit.

Écrire un commentaire

Articles populaires
Risques culturels lors d’un séjour culturel en Algérie : Ce qu’il faut vraiment savoir

Risques culturels lors d’un séjour culturel en Algérie : Ce qu’il faut vraiment savoir

avril, 20 2025

Quelle est la meilleure période pour visiter le désert algérien ?

Quelle est la meilleure période pour visiter le désert algérien ?

déc., 24 2025

Qu'est-ce que Chainlink ? La cryptomonnaie qui relie les blockchains aux données du monde réel

Qu'est-ce que Chainlink ? La cryptomonnaie qui relie les blockchains aux données du monde réel

oct., 30 2025

Quel animal symbolise l'Algérie ? Le léopard et les autres emblèmes de l'identité nationale

Quel animal symbolise l'Algérie ? Le léopard et les autres emblèmes de l'identité nationale

déc., 17 2025

Comment voyager à Dakhla : guide pratique pour explorer le désert algérien

Comment voyager à Dakhla : guide pratique pour explorer le désert algérien

nov., 1 2025

Etiquettes populaires
  • artisanat algérien
  • Sahara algérien
  • Algérie
  • voyage Algérie
  • voyage en Algérie
  • désert algérien
  • voyage au Sahara
  • circuit Sahara
  • Sahara
  • tourisme Algérie
  • climat Sahara
  • cuisine algérienne
  • blockchain
  • céramique algérienne
  • culture algérienne
  • désert du Sahara
  • identité algérienne
  • excursion désert
  • traditions algériennes
  • États-Unis
Voyage DZ
  • À propos
  • Conditions d'Utilisation
  • Politique de Confidentialité
  • Protection des données

© 2025. Tous droits réservés.